Une interview de Marie-Sophie L en avril 2050 réalisé par Jamil Osma à Ténérife dans les îles Canaries.

Marie-Sophie L témoigne 30 ans après…

Marie-Sophie L : Je suis très heureuse de vous retrouver Jamil, très heureuse parce que j’adore parler avec vous de comment nous avons vécu cette crise. Voyez vous et je vous ai promis à la fin de cette interview que je vous montrerai comment rajeunir avec la puissance de la pensée et en quelques secondes, et je le ferai à la fin de l’interview parce que je prends un petit peu d’énergie.

Et cette énergie, je le consacre à autre chose. Vous comprenez bien. Voilà, j’adore vous voir ouvrir de gros yeux sur comment c’était avant, avant cette crise. Alors je parle de crise parce que ce n’est pas tant la pandémie dont nous avons bien compris qu’elle n’était pas une, enfin pas plus que les grippes des années précédentes. C’est le confinement qui a été déterminant.

Comment, comment un cocktail de manipulation, de mensonges, de bêtise grossier a provoqué un tel réveil de la population et la fédération intrinsèque de cette masse humaine. S’il n’y avait pas eu ces mensonges grossiers, ces trahisons, la population de la terre ne se serait probablement pas réveillée, n’aurait pas pris conscience de son pouvoir et aussi de sa responsabilité parce que la terre était condamnée.

L’espérance de vie était limitée. Nous le savions sans vouloir le savoir, comme si nous étions tous embarqués, tous sur un navire à la coque crevée qui sombrait inexorablement. Et tout le monde continuait à polluer et à rouler en voiture, à utiliser des sacs plastiques. Mais même moi, à l’époque, On savait… Il y a 70 ans, c’était comme en 2020, ça faisait déjà 40 ans que les industries et qu’on pouvait fabriquer de l’énergie libre. Mais les industries pétrolières avaient éradiqué tous ces travaux, de même que les malversations des lobbies pharmaceutiques. Éradiquer les traitements simples et efficaces et peu onéreux. Tout ça, tout ça a éclaté. L’abcès a été crevé dans tous les domaines. C’est ce que à quoi nous avons assisté et ça fait a pris un petit peu de temps, bien sûr.

La fin de la toxicité…

Nous avons assisté à la fin de la toxicité systémique d’une civilisation qui privilégiait les intérêts privés au bien de la population. Ce bien commun n’était pas commun du tout et le commun des mortels s’est réveillé massivement à cette évidence grâce au confinement et à l’arrêt des activités. Le seul bien commun, selon l’expression de Thomas d’Aquin, c’est Dieu et au sens où l’entend, Spinoza «  Deus sive Natura », Dieu ou la nature, Dieu, l’amour inconditionnel, l’amour inconditionnel, qui est reconnu maintenant comme notre plus grande richesse commune.

Mais en 2020, vous savez dire, ça n’aurait pas été compris parce que les intelligences n’étaient pas ouvertes à entendre cela. Vous savez, j’ai toujours été optimiste. Très. Mais une fois, je me suis demandé si je n’avais pas mené les gens qui me écoutaient à l’abattoir en chantant. Et bien non, cette foi en ce qui se passait ne m’a jamais quitté parce que j’avais cette conscience très joyeuse de ce retour à la maison, ce retour à la maison qui s’amorçait sous nos yeux. D’ailleurs, ma vie est devenue de plus en plus heureuse depuis cette époque.

Le confinement m’a aussi fait entreprendre un travail personnel décisif. Vous savez, les dictateurs et manipulateurs de l’époque ont joué le mauvais rôle, mais un rôle salutaire au sens où « salute » c’est la santé, d’éveilleurs de conscience, de même que la maladie, les virus, les bactéries se présentent à nous pour faire réagir notre système immunitaire. La maladie, c’est l’adversaire ontologique. Ils ont été en quelque sorte adversaire ontologique.

L’être et le monde dont il fait partie…

Alors, l’ontologie, c’était “l’étude de l’être, de la nature réelle de ce qui nous entoure et du sens de la vie“. C’était de la définition à l’époque. Mais maintenant, en 2050, on ne dit plus l’être et le monde qui l’entoure, voyez vous, on dit et on pense “l’être et le monde dont il fait partie.” C’est très différent. Et ce tournant conceptuel et réel en termes de ressenti s’est amorcé en 2020. A l’époque, nous nous ressentions nous mêmes comme un esprit dans un corps, à l’intérieur d’un corps physique et regardant le monde extérieur qui nous paraissait étranger. Maintenant, nous avons maintenant et de plus en plus la connaissance absolue que nous faisons partie de l’existence entière et de toutes ces manifestations.

À l’époque, non, nous ne le pensions pas comme ça. Donc c’est à cette époque, en 2020, que nous avons amorcé tous ensemble le retour à la maison. Les humains se sont mis à croître en énergie et la terre aussi. Voyez l’accélération s’est faite pendant cette période. Et bon, il y a eu aussi des martyrs. On ne s’en souvient jamais assez. Les victimes furent non pas celles du virus, mais des mauvaises décisions prises à cette époque.

Parce que si tout le monde maintenant dit « je le savais » à l’époque, ceux qui lançaient des alertes était traité de complotistes. Mais les martyrs sont tout ceux qui ont payé de leur vie. Les dégâts collatéraux ont été très lourds, mais les progrès ont été faramineux grâce aux mauvaises décisions. C’est l’effroyable beauté du monde tout le temps, en paradoxe et en clair obscur.

Un chaos salvateur…

C’était un chaos morbide qui s’est révélé salvateur et grâce auquel nous avons réussi à évoluer considérablement. Même les prédateurs et grands dictateurs ont peut être obéi à des injonctions qui venaient de très haut, ils se sont peut être même sacrifiés pour jouer les mauvais rôle, pour réveiller en nous ce qui devait se réveiller pour sauver l’humanité. Nous ne pouvons pas savoir.

Cette terre d’abondance…

Notre terre était condamnée. Je vous le répète, nous n’avions pas d’espérance de vie sur cette terre. Nous étions les êtres les plus toxiques. C’était l’humanité, c’était nous. Alors quelques uns étaient plus que d’autres. Mais ces dictateurs toxiques ont tellement poussé le bouchon, ça a réveillé du monde. Maintenant, savoir qui est bien, qui est mal, qui agit pour la lumière en montrant sa face d’ombre…

Quel rôle joue t’on ? Tous, chacun, ensemble ? Il est très difficile de prendre parti, surtout quand nous ne savions pas tous que nous ne formons tous qu’un seul être. Nous ne sommes tous qu’un éclat du même et c’est maintenant quelque chose qui est plus compris par nous tous. Et ça, je m’en réjouis. Alors, comme je vous l’ai promis, je vais vous montrer comment rajeunir avec la simple puissance de la pensée, la concentration, parce que ça, ça m’amuse beaucoup.

Je vais vous montrer… alors dites-moi si ça marche. Est ce que ça fonctionne ? Jusqu’où je vais… Voilà, je vous fais la démonstration. Je vais revenir maintenant jusqu’à. Bon voilà, mais c’est très amusant. J’adore faire ça et c’est très puissant. Il était hors de question d’en parler à l’époque ! C’eût été trop tôt. C’est ça qui est extraordinaire dans toute cette évolution, ce chaos incroyable pour retrouver le sens des vraies valeurs et se mutualiser et se fédérer dans la générosité, dans l’abondance. Cette terre d’abondance, nous la devons à cette crise de 2020 en quelque sorte. Et voilà. Voilà, Je vous remercie, Djamil.

Poisson d’avril ?

C’était il y a 3 ans déjà, et ce n’était pas un poisson d’avril mais un cri du coeur anticipé, de confiance et de foi en nous… les choses avancent peu à peu et nous évoluons tous tranquillement, chacun à son rythme…

Vous retrouverez ici l’intégralité du coup de gueule de Coline Serreau que j’évoque dans l’interview ci-dessous…

Pour tout vous dire, j’ai enregistré ces deux vidéos à l’aide de snapchat , avec le masque de vieillissement !

Je vous retrouve bientôt pour de nouvelles aventures… culinaires, avec ma gastrawnomie®, la nourriture du futur !

Joyeusement,

Marie-Sophie L